Новые детские загадки
на французском - с ответами.

Qui tire les larmes des yeux
Sans chagrin,
Et qui trace vers les cieux
Son chemin ?
La Fum?e

J’ai la taille fine et fr?le
J’ai la voix charmante et belle
Chante Chante Chanterelle

Sept nains pour sauver
Blanche—Neige,
Sept notes, la gamme, un solf?ge,
Sept doigts aux deux mains des martiennes,
Sept jours pour compter la semaine,
Po?tes, sages, sacrements,
Merveilles, chandeliers, tourments...
Marie souffrit les sept douleurs.
Je suis l’?charpe aux sept couleurs.
L’Arc En Ciel

Pour commencer, j’ai le teint blanc.
Pour continuer, je verdis.
Apr?s, je deviens rouge—sang.
Pour finir, noire comme nuit.
La M?re

Au printemps, je prends ma belle parure ;
En ?t?, je mets plus d’habits encor ;
En automne, j’?te mes habits d’or ;
En hiver, je suis nu dans la froidure.
L’Arbre

Sans couleur, sans yeux, sans visage,
Sans forme, partout je voyage,
Sous la terre ou dans les nuages,
A travers mille paysages,
Au fond des puits, dans les orages,
Au creux des mains, sur les vitrages,
Je peux monter dans les ?tages,
Et je m’?tends au long des plages.
L’Eau

O? force, rage, ni violence
Ne sont parvenues ? passer,
Je fais un tour, et c’est assez
Pour triompher avec aisance.
Tant de gens seraient ? la rue
S’ils m’avaient perdue !
La Cl?

En chocolat, en bronze, ou en argent dor?,
Bonne au go?ter, grave ? l’?glise, l?g?re au pr?.
La Cloche

Le printemps repeint la salle des f?tes,
La campagne a mis sa verte moquette.
L’Herbe

?l?gante, dans son gilet
Ray?,
Elle fr?quente tous les c?urs
Des fleurs :
C’est la fabricante officielle du miel.
L’Abeille

P?le, p?lot, poli, placide est mon visage.
Il est environn? d’?tincelles de feu.
Solitaire, la nuit, il attire les yeux.
Le jour le rend blafard, le grand soleil l’outrage.
Parfois, je diminue, et, tout maigre, je suis
Un croissant tremp? dans le caf? de la nuit.
La Lune

Le commencement d’un enchantement
Le milieu de la mer et le bout de la terre
Le d?but et la fin de tout espace
Ainsi s’ach?ve chaque trace
La Lettre E

Je dors le jour,
Vole la nuit,
Sans plumes pour
Mon vol qui fuit...
Mais je souris.
La Chauve—Souris

Au fronton des campaniles
Avec mes aiguilles
Ce sont les heures que je couds
Bout ? bout.
L’Horloge

Noisette rousse ou feuille morte ?
Je saute et file comme un trait,
Car la queue que je porte
Est le point d’interrogation de la for?t.
L’?cureuil

Mon premier n’est pas froid,
Mon deuxi?me est certain,
Mon tout, sur le chemin,
Marche avec moi.
La Chaussure (Chaud —S?r

Le petit gris
Sort de chez lui
Sans quitter sa maison.
Puis il bourgeonne
Ses quatre cornes :
La pluie est de saison.
L’Escargot

Une chambrette
Sans porte ni fen?tres.
Aux murs d’opale,
Une tenture p?le.
S’y tient cach?,
Sans plafond ni plancher,
Un soleil d’or,
Myst?rieux tr?sor.
Mais pour le prendre,
Il faut casser la chambre.
L’?uf

Sans yeux, sans bouche,
Elle a deux bras.
Quand elle va,
Ses pieds ne touchent
Jamais la terre.
Tourne sa t?te.
Elle s’arr?te
Besogne faite.
Quel grand myst?re !
La Brouette

Je suis noire au—dedans,
Mais ce qui sort de moi
Est blanc le plus souvent
Et c’est tout rouge en bas.
La Chemin?e

Ventre de lin,
Cou de satin,
Aile en faucille,
Babil en trilles,
Plumes de tulle,
Vol en virgule,
?il de velours,
Et voyage au long cours.
L’Hirondelle

Longues pattes long cou long bec et longues ailes
Voyageuse au long cours
Si court le temps d’?t? ?
Strasbourg mes amours
L’hiver est long sans elle
La Cigogne

Combien de points ?
Combien d’ann?es ?
S’envole au loin
Ma destin?e.
Petites ailes
S’en vont aux cieux
Pr?s du bon Dieu...
Qui donc est—elle ?
La Coccinelle Ou B?te ? Bon Dieu

Qu’est—ce qui court autour
Du jardin sans bouger?
La Cl?ture

Qu’est—ce qui est plein de trous
Et qui retient l’eau ?
L’?ponge

Petit point
Petit pas
Petit n?ud
Longue queue
Diminue peu ? peu
Petit point
Petit chas
L’Aiguille Et Le Fil

L’enfant de son p?re
L’enfant de sa m?re
Le fils de personne
La Fille

Toujours plus loin, toujours plus haut,
Un saut, deux sauts, trois sauts,
Dans l’air un peu, dans l’eau parfois,
Quoi ? Quoi ? Quoi ?
Quoi ? Quoi ? Quoi ?
La Grenouille

Belle,
Parce qu’il g?le.
Dure,
Par la froidure.
Lisse,
Pour que tu glisses.
La Glace

— Houp ! Houp ! Houp ! Houppette !
Par la barbichette
De ma tante Huguette
Ta danse me pla?t !
Ma fi?re Blanchette,
Sors de ta cachette,
Donne—moi ton lait !
La Ch?vre

Toit de fer
Murs de verre
Une chambre
O? ?a flambe
La Lanterne

On me vend, on m’ach?te,
On me coupe la queue,
On me d?nude un peu,
Puis on me fend la t?te...
Vous ?tes sans piti?,
Et pourtant, vous pleurez.
L’Oignon

On peut marcher tout droit et tourner en rond
Dans cette prison.
L’?le

M?fiez—vous de moi :
Mon petit bout de bois
Porte le feu sur lui.
Voyez ! La flamme a lui !
L’Allumette

Une colonne blanche,
Des larmes qui se figent :
Fleur de feu sur sa tige,
D?j? ma flamme flanche.
La Bougie

Tisseuse de la soie fine,
La robe de M?lusine
Fut ton ?uvre, c’est certain.
Plus l?g?re que la brise,
Ta toile invisible a prise
Dans la fra?cheur du matin
Les perles de la ros?e
O? les f?es se sont pos?es
A l’appel bleu du destin.
L’Araign?e Et Sa Toile

L’?me ?prise d’un archet
Quatre cordes quatre cl?s
Chante Chanteuse Enchant?e

Quand le soleil surgit,
Timide, elle rougit.
La Fraise

Plus on l’aper?oit
Moins on voit.
L’Obscurit?

Un dos et quatre pieds
— mais je ne peux marcher.
La Chaise

Une chose que l’on peut voir,
Qu’on ne peut prendre ni toucher,
Courte ? midi, longue le soir,
L’hiver perdue, l’?t? cherch?e,
Fid?le, chacun a la sienne,
Tu ne peux marcher sur la tienne.
L’Ombre

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